DÉFI 30 JOURS 30 LIVRES | THOMAS BERNHARD

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  • Опубликовано: 8 сен 2024

Комментарии • 10

  • @ebr798
    @ebr798 6 лет назад +6

    #thomasbernhardforever !

  • @glaasable
    @glaasable 6 лет назад +3

    Deuxième hommage à Thomas Bernhard que je vois cette semaine, à contre-courant de la fête générale… Celui de Paul Emond publié cette semaine sur FB (avec une citation de l’incommensurable Corrections) enfoncera le clou si besoin :
    « Vous vous sentez parfois comme il m’arrive de parfois me sentir ? Marre et marre et marre de tout et d’abord de vos contemporains ? Impression de n’entendre débiter autour de vous que platitudes et conneries ? Sensation d’être envahi, pollué, transpercé jusqu’à l’os par la vulgarité et la laideur ambiantes, d’être sans cesse taraudé par une société pour laquelle seuls comptent le fric, le succès, le paraître, les valeurs bobos ou bling-bling, la destruction de toute singularité, l'oubli de toute valeur véritable ? Vous rentrez chez vous excédé, les nerfs en boule, le moral à zéro, désolé de ne pas posséder une kalachnikov ? Vous ne savez plus que faire ? A quel saint vous vouer ? J’ai le remède. Précipitez-vous sur un livre de Thomas Bernhard. Extinction, Maîtres anciens, Des arbres à abattre sont des chefs-d’œuvre absolus. De si virulents et somptueux exercices de détestation du monde qu’on en sort tout rasséréné et ragaillardi, décidé à tout faire pour vivre enfin libre et à remettre à sa juste et triste place ce brouhaha stupide qui nous entoure et dont on n’a rien à cirer.
    "Il faut pouvoir se lever et partir de toute société qui n'est bonne à rien (...) et laisser les visages qui ne sont rien et les esprits d'une stupidité souvent sans limite et pouvoir sortir, descendre et aller en plein air et laisser derrière soi tout ce qui est en rapport avec cette société bonne à rien (...); on doit pouvoir posséder la force et le courage et la brutalité même à l'égard de soi-même, de laisser derrière soi tous ces gens et ces esprits ridicules, inutiles et stupides et de remplir ses poumons, d'expulser de ses poumons toutes les choses qu'on a abandonnées et d'emplir ses poumons d'un air nouveau, il faut quitter par le chemin le plus rapide ces sociétés inutiles ; ces bandes rassemblées pour rien d'autre que des stupidités, afin de ne pas devenir un élément de ces sociétés stupides, en sortant de pareilles sociétés il faut revenir à soi-même et trouver en soi-même apaisement et clarté (...)." (Corrections, Gallimard, traduction Albert Kohn) »
    Joyeuses lectures !

  • @Teusqua91
    @Teusqua91 5 лет назад

    Merci Serge Moati

  • @gabrielk2295
    @gabrielk2295 3 года назад

    J'ai commencé aussi avec le Naufragé. J'ai failli me noyer. Ces jours derniers enfin je commence les autres Bernhard l'Origine que vous ne voyez pas, où il décrit Salzbourg bombardé. Le Naufragé est un livre décisif oui.

  • @StewenCorvez
    @StewenCorvez 6 лет назад

    À d'main.

  • @marionjoffe7299
    @marionjoffe7299 6 лет назад +1

    MON ECRIVAIN PREFERE, LE PLUS GRAND DU XX° SIECLE

    • @lefrancdominique3284
      @lefrancdominique3284 5 лет назад

      Tellement d'accord ! Une écriture unique, symbiotique, une lucidité roborative, et quand on a vu et écouté Serge Merlin dire et vivre Thomas Bernhard, alors là.... on a un bagage pour le parcours.

  • @jacquesdeturenne1164
    @jacquesdeturenne1164 6 лет назад +2

    donc quand même un bout au bout de la pile debout. mon budget bouquins commence à ressembler à une déflagration.

    • @fbon
      @fbon  6 лет назад

      ouais mais moi c'est depuis 40 ans !

  • @brumedesuurey6151
    @brumedesuurey6151 3 года назад +1

    Je suis déçue, publicité mensongère ! Je voulais vraiment lire ce Béton, ces huit secondes en 160 pages. J'ai vu la vidéo lundi, mardi, je prends le bus pour Vienne parce que c'est la seule librairie où il est disponible, mercredi, je flâne à Lyon, j'achève d'une traite les 160 pages, et puis pouf, le suicide n'arrive qu'à la fin. J'espérais que ça serait vraiment les 160 pages sur les huit secondes. C'est bête, des fois, ce qu'on peut se mettre dans la tête comme obsessions. Bref. Faut pas me faire ça, François, moi après je suis triste avec mon suicide en quelques pages à peine.